Allo la Terre ? Ici la Lune ...

Que cette année soit, pour tous, porteuse d'espoir.   Image tirée de cette page.

Je suis de la même ville que lui, mais ne le connaissais pas. Il était critique d'art. Il avait 51 ans. Il est mort vendredi.   C'est étrange... Sa photo m'évoque mon professeur de dessin de 4°. Imagination trompeuse... Et puis, cela n'a pas grande importance. Pour tous...

   

 

Parfois, les petits enfants se disputent pour savoir lequel aime le plus fort la maman,la maîtresse ou le gâteau au chocolat. Les adultes aussi savent faire ça... Pour des choses moins faciles à identifier et avec des armes. L'absurdité du débat est plus ou moins égale.  

lectrice d'Archéologia à 14 ans, puis étudiante en Histoire et en Archéologie, avant de muer finalement dans ma peau de gribouilleuse, je pourrais dédier ce dessin au patrimoine détruit et aux enfants qui ne pourront pas, au travers de ces images, toucher le passer du doigt. J'aime mieux le dédier aux victimes humaines. Aux gens qui souffrent et qui meurent au nom de cette même absurdité. A ces villageois dont, finalement, on parle beaucoup moins que des statues. Même pour simplement faire un parrallèle La vie humaine est... [Lire la suite]

Un poème qu'on nous faisait apprendre, au temps de l'école primaire (CE1 ou CE2, je ne sais plus) disait ces mots : "Si tous les gars du monde Devenaient de bons copains Et marchaient la main dans la main Le bonheur serait pour demain" Ca a l'air facile. Simple, même. C'est facile. Enfantin, même. Sauf que les adultes, comme disait Brel "sont tellement con" Oui, il y a une chanson où il dit ça, Brel, que les adultes sont cons... Même que la suite c'est "qu'ils nous feront bien une guerre" Ben ils ont tellement cons qu'ils... [Lire la suite]

On nous aurait dit ça, il y a un mois, personne ne l'aurait cru... Le temps de traverser le centre ville (il n'est pas grand à Dijon), presque au pas de course (j'étais en retard et en plus il pleuvait), j'ai croisé deux fois des policiers barrant toute la largeur de la rue. Et les gens sont ravis. Ils leur sourient. J'ai même vu une petite fille aller vers eux en disant qu'ils sont gentils. Un tableau surréaliste. Ou bien Idyllique. Paradisiaque. Onirique. Il faut donc 17 morts pour qu'on se mette à aimer ces gens qu'on... [Lire la suite]