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Poussière de Lune / Atelier d'une gribouilleuse
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16 octobre 2010

Concours sélénite = les votes !

Voici venu le temps...concours_selenite_75

Heu, non... Pas celui des rires et des chants, encore que ça n'est pas faux non plus.

Le temps de choisir un vainqueur à cette compétition délirante.

Veuillez, donc, tous autant que vous êtes, cliquer pour l'histoire de votre choix, et faire savoir à la population de la grande plaine étoilée et néanmoins virtuelle où nous évoluons céans, qu'ici, six trouvères attendent de savoir lequel d'entre eux a le plus charmé son auditoire lectorat.

2010-10-16-desert

Pour changer, je mets le bouton que voici

en haut de l'article...

En bas, y'a déjà les sondages !

Récit n° 1...

La famille TICK fait une courte pause avant de reprendre la route des vacances. Le père Marcel lassé d'entendre ses enfants, Héra et Roman demander depuis une bonne heure : "Dis Pâ, c'est quand qu'on arrive ?" a emprunté le premier chemin de traverse après que sa femme, Luna, excédée elle aussi, s'est mise à hurler: "Arrête-toi ! J'ai un moustique dans l'oeil !".
Toute la famille s'est posée, le temps d'apprécier se dégourdir un peu les jambes, faire pipi, jouer au ballon avec le chien... Roman s'étant plaint des orties qui lui piquaient les mollets, son père le jucha sur ses épaules. Quand tout-à-coup, un vrombissement lointain se fit entendre. Pointant le doigt en direction du danger tout en malmenant la chevelure de son père, Roman s'écria : - Papa, papa, regarde !

En ce temps là, partir en vacances signifiait partir on ne savait où. En effet, la signalétique routière était en cours selon un concept fort attrayant pour qui disposait d'une voiture. Si vous aviez la chance de croiser sur votre route un vendeur ambulant de pancartes, vous participiez de fait à une nouvelle science dénommée géographie. Le choix d'un panneau et son implantation à l'endroit même où le vendeur garait sa camionnette dessinait et libellait l'environnement alentours. Le vrombissement perçu par Roman n'était autre que celui de la camionnette pétaradante d'un vendeur de ce type. L'affiche apposée sur le véhicule s'actualisait au fil des requêtes, comme par magie. La famille constata amèrement que le stock disponible était bien pauvre. Ils optèrent pour le panneau "Auberge du cheval vert", le seul qui ne présentât aucun risque pour la poursuite de leur trajet. De plus, ils étaient tous affamés, ça tombait plutôt bien. A XIV lieues d'ici les attendait une bonne table. Marcel TICK espérait à cet instant qu'aucun autre automobiliste ne vint à croiser un autre vendeur ambulant. Les pneus de son cabriolait ne résisteraient pas à une ornière de lames. Imaginer sa famille au prise avec un dragon sur une plage ou quelques manants armés d'épées le glaçait. Le panneau solidement ancré dans le sol, toute la famille reprit la route.

Aucun automobiliste n'ayant croisé une quelconque camionnette de vente de panneaux, ils arrivèrent sans encombre à l'auberge du cheval vert. Quelle ne fut pas leur surprise en pénétrant dans les lieux. Une étrange barrage se déroulait devant leurs yeux ébahis. L'auberge à peine sortie de terre grâce à leur choix, tous les vendeurs magiciens (rappelez vous l'actualisation de leur affiche...) s'étaient donnés rendez-vous pour y évoquer, après déjeuner, leur avenir menacé. En effet, la cartographie régionale commençait à connaître un tel essor qu'il devenait indispensable d'en débattre avant que leur territoire ne soit totalement truffé de panneaux indicateurs. Retranchés derrière l'accueil sur la proposition de l'aubergiste, la famille TICK comprit bientôt l'objet de cette rixe. L'une d'eux, devin à ses heures, avait osé dire que les lieux les plus sordides en surnombre indéniable dans cette partie du territoire préfiguraient les zones de non droit futures, reprochant aux uns et aux autres la vente de panneaux aux visuels intentionnellement détournés de l'esprit initial : des lieux où il fait bon vivre. Elle argumenta sur sa ceinture têtes de mort, grigri sans lequel elle-même aurait péri maintes fois. Elle menaça l'assemblée d'en référer à plus haut si les choses n'étaient pas réparées sur le champ. C'en était trop pour As de trèfle qui vola dans les plumes à celle qui lui volait la vedette. Son statut d'As faisait de lui la carte maîtresse du dispositif. Chacun des deux ayant œuvré à créer sa troupe de gnomes, elfes, dragon ailé, sirène et autres, la bagarre occupait les miniatures inféodées pendant que les autres vendeurs armés de balai-lance ou encore de flèche enflammée se mêlaient à l'échauffourée sous l'œil attentif des secours appelés en renfort. Tournant le dos à cette bagarre, Mary Poppins réfléchissait...

- Maîtresse, tu peux nous montrer les images ?
- Les enfants, la cloche va sonner. Je vous lirai la suite demain et vous verrez les images, promis.

Récit n°2...

Céline et Pierre Mac Kinley profitaient d'une belle journée d'été en compagnie de leurs enfants, Clémentine et Maël, et du chien Météore.
Ils avaient décidé de pique-niquer au sommet de la colline de Menez-Hom, un lieu préservé de l'expansion humaine où la nature avait repris tous ses droits.
Entraînée depuis plusieurs semaines par son frère, Clémentine faisait admirer sa technique footballistique à sa mère, tandis que Maël, épuisé par plus d'une heure de jeu avec sa grande soeur, profitait des larges épaules de son père pour s'y reposer et avoir une vue imprenable sur la vallée.
Soudain, Météore redressa la tête. Aux aguets, il sentit que quelque chose d'anormal allait se passer.
Maël regarda vers l'ouest et demanda à son père : "Dis papa, qu'est-ce que c'est ?" ....

Maël désignait du doigt la forêt de Brocéliande, un endroit que les villageois des alentours évitaient comme la peste.
Il faut dire que de nombreuses histoires circulaient depuis des temps immémoriaux.
Selon la légende, la descendance de Sieur Roland de Roncevaux aurait fait l'objet d'un maléfice. En effet, la fille de Roland, Séléné, et son frère Théophrène, auraient tenté de faire fondre l'épée Durandal pour en obtenir l'or qui ornait la poignée.
Depuis, ils seraient emprisonnés à tout jamais dans ces bois en compagnie du forgeron.
Toutes les issues pour en sortir seraient gardées par un dragon et un génie, condamnant ainsi le trio à prendre le seul chemin possible : un pont terriblement glissant et dangereux, qui n'est autre que la réplique de la fameuse épée de Roland. La moindre chute les ramèneraient dans une clairière au centre de la forêt.

A l'évocation de cet étrange destin que celui de Séléné et Théophrène, Maël se sentit pris d'un étourdissement et s'évanouit. Combien de temps s'était-il écoulée ?
Lorsqu'il reprit connaissance, Maël avait désormais la stature d'un adolescent de 15 ans. Face à lui se trouvait son institutrice, Mme Picadilly, dans une magnifique robe rouge.
Malheureusement, il n'y avait pas que sa robe qui était rouge !!
Très en colère, elle s'adressa en ces termes à Maël : "As de trèfle, concentre-toi sur ta conduite ! tu es un vrai danger ! regarde ce que tu as fait ! comment peut-on avoir aussi peu de maîtrise de son balai magique ?!".
MAël reconnut près de lui sa soeur et son cousin, tous deux affalés par terre à côté de leurs balais littéralement coupés en deux.
Tandis que d'étranges créatures volantes se moquaient de lui, il s'aperçut soudain qu'il était juché sur un balai à environ 2 mètres au-dessus du sol. Paniqué, il perdit l'équilibre et chuta lourdement.
Une voix douce se fit alors soudain entendre : "Maël, mon chéri, il est l'heure de te réveiller : il y a école ce matin" dit Maman Céline.

Récit n° 3 ...

Le voyage a été long et épuisant. Près de 20 000 kilomètres au volant de la vieille guimbarde.
Toute la famille est enfin arrivée. Ils ont enfin pu planter la tente.

- Regardes papa ! Il y a des oiseaux qui volent à l’envers ! crie petit Paul, juché sur les épaules de son père.
- C’est normal mon fils », dit le père, nous sommes arrivé de l’autre coté de la terre, dans l’hémisphère sud. C’est nous qui avons donc la tête en bas. Ce que tu vois, ce sont des oiseaux migrateurs, qui eux sont restés dans le bon sens .
- Et on ne risque pas de tomber ?
- Nous non, car nous savons que la gravitation universelle existe. Mais tous les animaux ne le savent pas, c’est pourquoi j’ai enchaîné notre chien, à un piquet.
- Regarde, dit la mère, même mes cheveux ont tendance à tomber vers le haut, et je suis même obligée de retenir ma robe.
Hé ! Laura, arrête de jouer avec ce ballon, il va tomber dans les nuages.

Séléné, je voulais te prévenir que tu as posté ton dessin à l’envers.

« Hier, les habitants des petites commune de «Cheval vert» et «Saint Rémy » ont eu la douleur d’appendre que leur institutrice venait de périr dans un terrible accident.
L'institutrice qui partageait son temps entre les écoles des deux villages, a glissé en traversant le pont de l'épée qui enjambe le précipice qui sépare les deux communes.
Chacune de ses jambes ayant glissé de part et d'autre de l'épée qui sert de pont, la malheureuse a été proprement coupée en deux , depuis l'entrejambe jusqu'à la tête.
Chaque village ayant récupéré une moitié du corps une pénible polémique a éclaté afin de savoir où la malheureuse serait enterrée. Tel Salomon, le prévôt a décidé que chaque commune assurerait les funérailles de la moitié qui lui a échu.

Nous avions déjà dénoncé, dans notre numéro du mois de mai, la dangerosité de ce pont épée, cause de nombreux accidents. Force est de constater que les pouvoir publics n'ont toujours rien fait etc… »

Le père arrêta sa lecture de « L’écho des antipodes » en haussant les épaules, ce qui réveilla petit paul, toujours juché sur le cou de son père.
Ca y est. Les vacances dans les antipodes sont finies. C'était très rigolot, les oiseaux volaient à l'envers et quand papa lachait son journal après l'avoir lu, le journal, au lieu de tomber par terre, tombait dans le ciel.

On est rentré à la maison et ici c'est un peu triste parce que tout y est normal. Banal devrais-je dire.

Maman à repris son travail au combat de magie (c'est la meilleure combattante de l'écurie, son coach est très fier d'elle), papa, celui de réparateur de balais de sorcières, et moi, je joue à transformer des grenouilles en princesses.

J'en ai plein (des princesses) je ne sais plus quoi en faire.

Et c'est joli une princesse mais qu'est-ce c'est pimbèche. Et elle n'arrètent pas de se disputer. J'ai bien essayer de les échanger à l'école contre des billes ou des bonbon, mais les copains ils trouvent que les filles c'est pas intéressant
et ils en veulent pas...

J'ai demandé à maman de m'expliquer comment on transforme une princesse en grenouille et elle m'a répondu en riant : tu as cas l'épouser et tu verras.

Oui mais je ne peux pas épouser toutes mes princesses...

 

Récit n° 4 ...

La famille Pétrolann était victime d'un sort ,tous les membres de la famille étaient dotés d'une chevelure qui poussaient de quelques centimétres par jour .Le pére Dop,la mére Palmolive,le fils Panténe,la fille Elseve et le chien Poilu étaient partis à la recherche du druide Pamalotiff qui savait fabriquer l'antidote à ce sort.Depuis quelques jours,ils marchaient dans une prairie immense,et apercevant enfin quelques traces de civilisation ,ils décidérent de faire une pause .
C'est alors que Panténe ,juché sur les épaules de son père ,attira l'attention de ses parents par ce qu'il venait de découvrir.........

.....pour sortir de cette immense prairie,une seule issue,le pont de la sorciére Chevelue(sainte patronne des coiffeurs)....Pour pouvoir le traverser,il fallait l'affronter et pouvoir lui arracher quelques cheveux sans cela,elle vous transformait en animal bizarre et vous jetait dans des douves infranchissables .La preuve :le gecko ayant échoué s'est retrouvé en serpent-siréne à crIniére dorée et caline ou snoopy (désolée,j'ai du mal à le reconnaitre) ,en lionne-minotaure échevelée.

Ayant réussi en triomphe le passage du pont de la sorciére Chevelue,la famille pensait enfin rencontrer le druide.Mais ,que nenni,les amis ..... la sorciére Hirsute(soeur de Chevelue)gardait la cour du druide et cette cour était devenue une aréne ou s'affrontaient les sorciéres,les lutins rouges volants et les visiteurs du druide.Quelques fées minuscules tentaient d'aider les malheureux en quete de l'antidote à la pousse des cheveux,mais le résultat était là,peu pouvaient prétendre entrer en contact avec le druide.En fait,dés qu'ils étaient bléssés pat la sorciére Hirsute ou l'un de ses farfadets ,ils devenaient rouges et au service de la sorciére.D'ailleurs, le service de santé du "cheveu rouge" était impuissant.Mais remarquez....Dérriére la grosse dame infirmiére,on voit la maman Petrolann déguisée,qui,arrive à pénétrer dans l'enceinte de cette cour sans être inquiétée et qui réussira à pousser la porte magique (en haut,à droite)du druide.Remarquez que nous pouvons en tirer une morale "rien ne sert de couper un cheveu en quatre,il repousse", et surtout che veu vous dire que c'était pas facile ce concours !!!!!

Récit n°5 ...

Aujourd'hui encore, il suffit d'un souffle de vent, d'un vol d'hirondelle pour évoquer le souvenir de ce jour là. Le bonheur est fait de petites choses insignifiantes : une partie de ballon, un sourire, une petite main qui s'agrippe dans vos cheveux...
Mais le bonheur dure-t-il plus longtemps qu'un lambeau de brume par une matinée de printemps ?

Il n’avait rien vu venir et puis il y avait eu le Pont de l’Epée. Quand il avait ouvert les yeux, elle avançait sur le pont, inconsciente du danger. Elle levait les jambes, beaucoup trop haut d’ailleurs, avec sa petite jupe qui lui donnait l’air d’une… Mon Dieu ! Comment sa fille chérie, son bébé qui, hier encore, se roulait dans l’herbe en salopette, avait-elle pu se transformer en cette créature ? Il aurait dû faire plus attention. D’abord, elle s’était fait teindre les cheveux en blonde, elle avait voulu apprendre l’escrime, et puis elle était arrivée avec ces tenues grotesques. Quand il avait voulu lui faire une réflexion, elle lui avait répondu : « Tu m’as fait honte toute mon enfance avec ton espèce de poncho mité, t’as rien à dire ! » Un soir, elle lui avait dit : « je vais au Pont de l’Epée ! » Il avait demandé : « C’est quoi ? » Elle l’avait regardé avec hauteur : C’était l’endroit à la mode, tous les gens branchés allaient au Pont de l’Epée. Lui, il n’arrivait pas à l’imaginer autrement que comme une épée tranchante posée sur un gouffre sans fond. Quand elle en parlait, il voyait les lions aux crocs acérés, l’onde traîtresse, les dangereuses sirènes. Elle, elle disait que la sirène était une copine, que le lion était en peluche et que le dragon était un mec super cool. En attendant, il voyait bien que la sirène attirait son fils vers ce Pont de l’Epée. Il essayait de l’arrêter mais il se sentait vieux et dépassé.

Il avait cru l’avoir perdue mais elle était revenue vers lui. Elle avait laissé pousser ses beaux cheveux noirs. Elle était si belle, elle n’était pas, comme sa mère, toute de douceur et de féminité. C’était une guerrière. Il l’avait vue se battre contre ses démons intérieurs. Ils étaient si nombreux ! Il tremblait pour elle, il la voyait perdre la bataille, mais elle se battait toujours. Si la mort devait la prendre, si la folie devait la vaincre, elles la trouveraient sans autre arme qu’un balais cassé mais toujours prête à faire face et à lutter jusqu’au dernier souffle. Jamais, elle n'abandonnerait.

Recit n°6...

C'est un jour de la mi-Octobre, un de ces jours d'automne où le temps est encore doux et ensoleillé. Quelques légers nuages s'effilochent dans le ciel. François, le papa, et Fabienne, la maman, proposent aux enfants de prendre la voiture et d'aller faire une promenade à la campagne pour profiter encore de la nature avant que la froidure et la pluie ne s'installent. Au bord de la route, un champ bien herbeux leur semble un bon endroit pour se dégourdir un peu les jambes. La décision est prise d'attacher Filou, le toutou coquin, qui a tendance à s'échapper, à un petit piquet au bout d'une longue chaîne. Après une bonne partie de ballon, fatigué, le petit Fredo demande à papa de le monter sur ses épaules, tandis que Fanny, sa grande soeur, continue seule la partie, sous l'oeil amusé et attendri de maman. Tout à coup, un grand coup de vent fait voler les cheveux et les vêtements, les oiseaux s'éparpillent en tous sens et Fredo, accroché à la chevelure de papa, montre du doigt un point au loin en s'écriant : "Regardez, regardez !!!"

Au pied du grand chêne, le passeur se gratte la barbe : le jeune homme roux a beau retourner le fond de sa poche, il manque toujours un sou pour faire le compte du péage et passer le pont de l'épée. Il lui explique qu'il peut, s'il se sent de taille, affronter dans une partie de carte le dragon-lion lorsqu'il en aura fini avec la sirène et s'il gagne la partie, le dragon-lion lui fera franchir le passage sans risque. Pendant ce temps, maman Fabienne a décidé de tenter le passage, bien que papa François lui ai dit qu'elle risque de tomber car elle n'est pas chaussée pour le faire et que le danger est grand. "Prends soin des enfants", lui répond-elle, "je suis mince et légère, et ce sont mes atouts pour franchir ce passage obligé. Si j'y arrive, j'aurai gagné votre passage en sécurité." Elle s'engage sur le pont-épée, précautionneusement pour ne pas glisser sur les côtés légèrement en biais de la lame, une pointe de pied après l'autre. "Maman !" s'écrit petit Fredo. "Maman ... " murmure Fany. "Fabienne, attend !" dit papa François. Quand à Filou, le chien coquin, il regarde la scène haletant, empêché d'agir par la chaîne qui le retient au piquet.
Petit Fredo, sur les épaules de papa François, se met tout à coup à hurler : "Maman, maman, fais attention, tous ces méchants vont te faire du mal !!!" Il voit que maman Fabienne, une fois franchit le pont-épée, se retrouve entourée d'esprits malfaisants qui l'attaquent et elle n'a trouvé qu'un vieux balai pour se défendre. Celui-ci est même cassé dans la bataille contre l'homme au tee-shirt As de Trèfle qui, voyant qu'il a l'avantage, l'attaque de plus belle, soutenu en cela par des lutins minuscules qui s'en prennent aux pieds de Fabienne. Elle a quand même pu venir à bout de certains de ses adversaires qui gisent à terre, hors d'état de nuire. Seule la sirène qui jouait aux cartes avec le lion dans le fossé tente de lui prêter main forte. Le magicien qui, par maladresse, a provoqué cette folle bataille avec un tour raté, ne sait plus comment faire pour arrêter ce carnage. Il a appelé des secours qui sont là, prêts à intervenir dès la première accalmie.
"Fredo, réveille-toi", dit papa François, "tu me tires les cheveux ! Tout va bien, mon garçon, tu faisais un vilain cauchemar. Maman est là, elle ne court aucun danger." Fredo ouvre les yeux et voit sa maman, sa soeur, son chien, et desserre un peu l'étau de ses petits bras autour du cou de papa. Ouf, tout ceci n'était donc que son imagination ! "Allez, on rentre à la maison," dit maman. "Ta partie de ballon t'a fatigué, tu as besoin d'une bonne sieste !"

Félicitations aux concurrents !

Splendides franchissements de mon parcours d'obstacles !

 

Et comme ça c'est pas forcément facile de choisir un seul et unique vainqueur...

 

 

Au final, un seul gagnant, sauf si ex-aequo. Le deuxième sondage sert à éviter le "choix crucial et cornélien" ...

Résultat par coef 2 et 3...

Prière est faite à toute créature internautique (terriens, terriennes, droïdes, entités spirituelles non indentifées, etc.) de ne pas voter deux fois pour le même candidat.

2010-10-16-combat

Les votes resteront ouverts jusqu'au 27 octobre au soir.

Les résultats seront proclamés le 30.

 

 

Edit, jeudi 28, 9h12. Compteurs relevés.

9 votes pour le premier sondage, 8 pour le deuxième.

Vous pouvez continuer de voter, mais ça sera "pour le fun" !!!

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Commentaires
Z
C'est fait j'ai voté, lol ! Super ma belle et très joli dessin. Bizes
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M
A voté... heureusement que je n'ai rien écrit je crois que je n'aurais pas été à la hauteur des "concurrents". Très chouettes dessins pour faire le plein d'imaginaire.
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L
Je viens de passer 40 minutes sur ton blog, ben c'est simple, j'aime tout. je repasserais souvent.
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R
Ben alors, merci d'avoir pensé à cela pour nous aider !!
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S
C'était prévu, que vous alliez zapper des détails... Mais avec tout ça, ça vous ourait un max de portes !
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Séléné.C, illustratrice.
Ou gribouilleuse, si vous préférez. Moi, je le ressens souvent comme ça. Mes doigts sont comme incapables de se tenir tranquilles. Si je n'ai pas un crayon et un papier, ou à défaut du fil et une aiguille, ou peut-être un clavier, ils vont sûrement tricoter dans le vide... 
Mais ça ne se présente pas souvent.
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