La crise ?
J'aurais peut-être dû choisir, quand on m'en a posé la question, l'option d'avoir un stand en extérieur, plutôt qu'en intérieur. Déjà ça, c'était pas une bonne chose. J'ai été à l'abri, bien sûr, quand l'orage, en fin d'après-midi, nous est tombré dessus, mais comme mon stand était petit et trop renfoncé dans la salle, personne ne le voyait.
En plus, je n'étais pas dans la salle où m'avait placée samedi... Et même si la dame du premier stand en entrant était hyper-sympa, ce qu'elle proposait n'était pas très médiéval et pourtant c'est la première chose qu'on voyait de notre salle.
De cette journée, par rapport à l'an dernier , il y a du positif et du négatif =
Posititif : ayant organisé les démonstrations de calligraphie à mon rythme, par un recopiage (avec traduction dans le même mouvement) de texte que j'ai effectué dans la journée, je ne me suis pas fait de tendinite, comme l'an passé, avec les démonstrations faites sur des bouts de papiers donnés aux gens, qui pour la plupart, ne voulaient que des marque-page gratos.
Négatif : Au lieu de 12 cartes postales vendues l'an passé (plus deux volées) je n'en ai vendues qu'une, plus 5 contes "la Chouette" à 2,50, (et encore, il y en a 4 qui sont en vente familiale, ce qui me gêne beaucoup...). Ajoutons à ça que l'an passé, il s'est trouvé des gens pour me payer 2 euros les cartes postales qui étaient alors 1,50 (cette année, le tarif a augmenté et elles sont à 2). Seulement 4 marque-pages personnalisés (avec prénom et petit dessin sur papier qui ressemble à du parchemin).
Moralité : Présenter des exemples de texes calligraphiés au calames, oui... Mais écrire sur place, c'est pas la bonne solution non plus, parce que du coup, les gens ne sont pas incités à acheter.