Au bout du pinceau

Les encrages, de type nerveux ou au contraire très calme (encrages zen entre autres), ça fait assez longtemps que j'en fais... Mais la peinture et la colorisation à la peinture ou à l'encre, alors là, pardon...

Les poils de pinceau qui se détachent au moment où on s'y attend le moins, c'est une horreur. Pendant des années, je n'ai pas voulu toucher à la peinture à cause de ça.

A présent, encore, ça me fiche un peu la trouille, ces fichus poils... Mais s'ils tombent avant que j'aie pu les en empêcher, tant pis. Il faut les récupérer ou bien les faire disparaître dans un trait du dessin. Pas le choix.

Le pire que j'ai eu, c'est l'autre jour, un pinceau qui a perdu d'un coup, toute sa partie emplumée d'un coup. Hé ben ? Qu'est-ce qui lui prend à celui-là ?

Bon... C'était un vieux pinceau, d'accord, mais quand même...

Vieux... Pas si vieux que ça, mais usagé, en tous cas. Et au bout du rouleau, sans doute.

Je n'ai pas colorisé hier, pour reposer mon système nerveux. Ma main fourmillait. Elle fourmille encore aujourd'hui, d'ailleurs. C'est peut-être parce qu'il fait chaud... Un temps à ce que des orages se préparent. Ca serait pas mal qu'il en fasse un. Ca raffraichirait l'air un bon coup.

Si vous avez cliqué sur la Harpe du driseoc, vous avez pu voir que j'ai achevé le détourage dont je parlais dans le post précédant et que la bannière est en place.

Il vous plaît, mon Puck ?

C'est drôle comme au détourage on se rend compte de toutes les imperfections de la colorisation... Mais que voulez-vous ? Je ne suis pas un logiciel de DAO, moi ! Et heureusement, d'ailleurs.